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Home Team of SynVec did a wonderful discovery “Jellyfish that enable the decontamination of nanoparticles”

Jellyfish that enable the decontamination of nanoparticles

Whether artificial or natural, nanoparticles are increasingly used in everyday life (in electronics, paints, cosmetics, pharmaceuticals, and in information technology). But pollution issues can arise, particularly in water in which nanometer-sized particles may become micropollutants and endocrine disruptors for aquatic fauna. And until now, there was no decontamination system for this environment.

Researchers from the ChemBioMed* team at the Inserm (French Institute of Health and Medical Research)ARN (Artificial and Natural Regulation) laboratory, along with biologists from the IMBE (Mediterranean Institute of Marine and Terrestrial Biodiversity and Ecology), have created an artificial supramolecular hydrogel capable of trapping nanoparticles. A gel is a material consisting of a liquid (water in this case) trapped in a molecular network that makes it solid (examples of this include gelatin, contact lenses, etc.). The nanostructure of this gel can trap gold and titanium particles less than 50 nanometers in diameter. This study, financed by the ANR (French National Research Agency) has just been the subject of a publication in the review Chemical Communications (ChemCom), the filing of a patent, and a paper presented at an international conference in Madrid.

Bioaccumulation in the slime

Philippe Barthélémy, a professor at the University of Bordeaux who is the team director, explained that the problem with this material is its price. Scientists have continued their studies in order to find a more natural material. It was Alain Thiéry, a professor at the IMBE, along with his colleague Fabien Lombard, a researcher at the Villefranche-sur-Mer Marine Research Station, who thought of jellyfish as they had noted their nanoparticle bioaccumulating properties. Studying them more closely, the researchers discovered that it was the slime secreted by the jellyfish when they are stressed, during reproduction and even at the time of their death, that was able to trap nanoparticles with quite surprising results.

This research is interesting in ecological terms for two reasons: both when it comes to reducing the toxic and environmental impact of the nanoparticles and in combating an increase in the numbers of jellyfish by using them for this purpose. But it is not all that simple; the slime is quite fragile, is difficult to freeze and defrost, and is therefore difficult to store. Consequently, at the moment it is not yet usable on a large-scale basis and studies are continuing.

* Chemistry of molecular and supramolecular systems for biomedical purposes

Reference:

Decontamination of nanoparticles from aqueous samples using supramolecular gels
Amit Patwa, Jérôme Labille, Jean-Yves Bottero, Alain Thiéry and Philippe Barthélémy
Chem. Commun., 2015, 51, 2547-2550

Source

http://www.u-bordeaux.com/News/Jellyfish-that-enable-the-decontamination-of-nanoparticles

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SynVec supply Fluorescent dye infrared a Cyanine derivativ

Fluorescent dye infrared , cyanine derivative CyTE777 

Cyanine

 

Name : CyTE777

Normalized spectra, excitation and emission of CyTE777. Measurements performed in water

Maximum of excitation is 777 nm and maximum of emission is 812 nm

 

 Proprieties :

  • imaging due to near-infrared fluorescence proprieties
  • deep penetration for the excitation
  • hydrosolubility
  • no aggregations in aqueous media
  • wide spectral area
  • High molar extinction coefficient

In contrast to other cyanines, the CyTE777 don’t present aggregation problems in aqueous solutions

 

For your request please contact us : info@synvec.fr ;  tel 0033557571005

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Des chercheurs réparent le cerveau grâce à une greffe de neurones

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<p”>Source : franceinfo.fr

C’est une première mondiale : des chercheurs ont réussi à réparer une partie du cerveau de souris. Une zone au niveau du cortex visuel qui était endommagée. Pour cela, ils ont cultivé des cellules souches embryonnaires pour les transformer en cellules neuronales et ils les ont implantées dans le cortex de souris. Une avancée prometteuse pour l’homme.

Une équipe de chercheurs franco-belges s’est rendue compte que certaines zones du cerveau tentaient de s’autoréparer en cas de lésion. Les chercheurs ont donc eu l’idée de stimuler cette autoréparation. Pour cela, ils ont cultivé des cellules souches embryonnaires pour les transformer en cellules neuronales et ils les ont implantées dans le cortex de souris. Le cortex c’est la partie superficielle du cerveau où se traite la vision, l’audition, les mouvements…

Au bout d’un an, ils ont vu que la greffe avait été efficace sur 61 % des animaux, dont le cortex visuel s’était remis à fonctionner normalement. Chez les animaux où la greffe n’a pas bien fonctionné, des tumeurs sont apparues, ainsi que des amas de cellules non différenciées. “Notre approche est d’essayer de greffer des neurones en bonne santé pour remplacer la région du cerveau lésée. On appelle cela une thérapie cellulaire par transplantation,” explique Afsaneh Gaillard, professeur à l’université de Poitiers et responsable d’une équipe de recherche Inserm sur le cerveau qui a travaillé sur le projet.

Ne crions pas victoire trop tôt

Cette découverte peut permettre de rêver que l’on pourra un jour réparer le cerveau humain, remplacer les neurones qui sont abîmés par exemple par un AVC ou par la maladie comme Alzheimer ou celle de Parkinson. Mais attention à ne pas s’enflammer trop vite. “Plusieurs équipes dans le monde essaient de voir la possibilité de réparation dans différents types de lésions. On a montré, sur des animaux, qu’il est possible de réparer les lésions traumatiques, ou celles causées par la maladie de Parkinson. Ce sont des sujets de recherche en cours et les recherches essaient de voir la faisabilité de cette approche dans d’autres maladies,” précise Afsaneh Gaillard.

Les chercheurs n’ont pour le moment réalisé leurs tests que sur des souris. Rien ne dit que le succès de cette greffe sera identique chez l’homme. Ensuite, ce travail a montré que le cortex humain était encore plus compliqué que ce que l’on imaginait avec des centaines de types de neurones différents. Donc pour réparer une zone précise, il faut fabriquer les neurones correspondants. Pour faire simple on ne répare pas la zone du cortex responsable de la vision avec des neurones responsable des mouvements. “La difficulté est d’obtenir des neurones appropriés pour réparer le cortex visuel et voir la fonctionnalité des cellules à long terme et vérifier l’absence de formation de tumeur,” explique Afsaneh Gaillard. C’est une recherche expérimentale et il y a encore beaucoup de recherches à effectuer avant une application éventuelle chez l’homme, tempère Afsaneh Gaillard.

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